aujourd'hui nouvelle séance, une sortie en foret... L se nomme souvent une chienne je me suis donc décidé à lui faire comprendre ce qu'est une chienne. Il n'y a pas de photo car trop compliqué
mais un peu de lecture...
je passe la prendre à sa sortie de travail. elle monte dans la voiture sans aucun regard échangé. Nous arrivons dans un endroit discret, je lui demande de descendre, j'ouvre le coffre et la fait
monter. Un chien ne voyage pas assis. Ensuite, nous arrivons en lisière de foret.
Je lui ouvre le coffre, la fait descendre et lui explique que puisqu'elle se prétend chienne, elle va se comporter comme telle. je la somme "toute nue !" je l'ai senti regarder autour d'elle pour
identifier si elle était dans un endroit discret, ce simple délai de réflexion m'a fait réagir, je la prend par les cheveux, la fait mettre à genou et lui explique qu'elle doit obéir sans aucun
délai. je prend un morceau de bois rond d'1 cm de diamètre que je glisse sous ses genoux et lui demande de rester droite, au bout d'un moment elle senti la douleur, j'attendis, elle déteste cette
punition. Ca fait mal.
après quelques instants à genoux sur cette branche, je la senti fléchir un peu, la position commencait à devenir douloureuse. J'attendis un peu puis lui demanda très fermement de se relever, la
marque du bout de bois sur les 2 genoux. Elle se déshabilla sans perdre de temps.
Une chienne, ca marche à quatre patte et avec une laisse, je lui demanda donc de mettre son collier et de prendre position, j'attacha la laisse, pris mon sac-à-dos et nous sommes partis pour une
balade dans les bois. il n'y avait personne, mais je la sentais très mal à l'aise comme si elle voulais s'assurer en permanence que personne ne l'observait.
Sa démarche était un peu lente, imaginez vous marcher à quatre patte sur un sol composé de branches, de feuilles, d'écorces, cailloux, parfois de boue et d'aiguilles de sapins... et moi qui ne me
gênait pas pour la faire passer dans des endroits très emcombrés ! Tellement lente parfois que je prenais plaisir à tirer un coup sec sur la laisse pour qu'elle active ses pas. Cela l'obligeait à
ne plus choisir les endroits ou poser ses mains et ses genoux et parfois donc se piquer ou ressentir les éléments composants le sol.
Après une centaine de mètres, dans un endroit très discret au détour d'un tout petit sentier, nous approchons d'une flaque d'eau à l'ombre apparement permanente, il avait plû la veille et donc
celle-ci était bien remplie, peut-etre une petite dizaine de cm de profondeur. A certains endroits l'eau était brouillée, nul doute que certains sangliers était venus se rouler, l'eau était
marron et la flaque très boueuse tellement remué par les betes. Nous étions au bord de cette mini-mare à cochon, elle à quatre patte. Elle comprit tout de suite qu'il allait lui arriver quelque
chose... elle tremblait de peur... ca se voyait, tout juste si elle tenait sa position sans bouger...
Je vous laisse cogiter sur la suite... et vous dit à plus tard... J'ai pris quelques photos mais pris par mon role, très peu, je les mettrai en ligne plus tard.
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